Pendant longtemps Saint Nicolas était de ceux qui défendaient le droit du sol. Mais ça, c’était avant la fin du monde. Depuis son positionnement a changé puisque seule la radicalisation de la droite républicaine pourra nous permettre de résister à la pression du FN. Aussi, nous devons nous rendre à l’évidence et revenir au seul droit qui ne peut être falsifié : le droit du sang.
Saint Nicolas a ainsi déclaré vouloir consulter les militants dès 2016 sur ce sujet en expliquant : « Faut-il remettre en cause le droit du sol ? Cette question, incontestablement, peut se poser ». Il est vrai qu’avec le drame des migrants, il faut réagir vite sinon n’importe quel auvergnat échoué sur nos côtes pourra mettre bas une portée de racailles qui auront automatiquement la nationalité française. Il y a urgence et nous devons trouver une solution finale pour éviter que le grand remplacement ne devienne une réalité.
Cette prise de position courageuse de Saint Nicolas démontre également à ses détracteurs qu’il a changé. En effet, en 2003 il déclarait : « Avec le droit du sang, on a toujours un sang qui n’est pas suffisamment pur. ». Aujourd’hui il a changé puisque comme le précise un de ses disciples : « Il ne faut pas laisser ce sujet être accaparé par le FN ». C’est vrai qu’il est important de défendre la pureté du sang français quand on voit ces putains de nains multi-divorcés d’origines hongroises qui viennent nous parler du problème de l’immigration et de la polygamie…
Car ne nous voilons pas la face : nous sommes en danger. Cette invasion de parasites pose un problème de sécurité au sein de L’Arche de Copé et notamment pour nos enfants. Comme le déclarait hier soir Saint Nicolas au sujet de cette réelle nuisance : « C’est un peu, si vous voulez, comme une maison dans laquelle vous habiteriez, et il y a une canalisation qui explose, elle se déverse dans la cuisine. Le réparateur arrive et vous dit : "J’ai une solution. On va garder la moitié pour la cuisine, on va en mettre un quart dans le salon. Et, si ça ne suffit pas, on a en réserve la chambre des enfants" ».
Saint Nicolas a raison : on ne va tout de même pas résoudre le problème des migrants en les invitant à manger dans notre cuisine, puis à faire leurs prières dans notre salon, avant de finalement les laisser coucher avec nos enfants ! Que diront ensuite nos pédophiles ? Que les étrangers viennent impunément manger leur pain ? Nous ne pouvons accepter cette situation qui risque encore de faire monter le FN. Il faut donc être pragmatique et commencer par couper l’arrivée d’eau (même si la canalisation a explosée à cause de nous…). Puis, nous devons faire le ménage et nous débarrasser de l’eau croupie qui inonde la cuisine. Pour cela, pas de miracle, on se retrousse les manches et on expulse.
Si nous voulons que la grande reconstruction de 2017 se passe bien, nous devons préparer le terrain dès maintenant. D’autant plus que le temps joue contre nous : Jérôme LAVRILLEUX a finalement été mis en examen lundi 15 juin (presque 1 an, jour pour jour, après l’apocalypse…) et on ne sait pas ce qu’il va balancer à ces bâtards de juges... Certes, nos adversaires politiques directs connaissent les mêmes difficultés avec leur micro-parti Jeanne mais ils ont la chance d’avoir un cheptel d’électeurs encore plus abrutis que les nôtres et ne risquent donc pas grand-chose au niveau électoral.
Cette multiplication des procédures judicaires à l’encontre des opposants politiques au régime instauré par les gauchistes est pour moi la démonstration de l’évidente instrumentalisation de la justice à des fins politiques. Républicains et nationalistes sont traqués par les juges et les huissiers. Même Alain SORAL est obligé de se séparer de son canapé rouge pour payer ses campagnes de publicité judicaires ! Je vous invite d’ailleurs à lui faire une offre. D’ici quelques semaines il devrait également proposer des prestations sexuelles. Expert en anulingus, la feuille de rose n’a pas de secret pour lui : ses collègues (quand il « travaillait » dans le milieu de la mode et du showbiz) le surnommaient d’ailleurs « Alain le colibri ».
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