lundi 4 août 2014

Fin du monde : premier bilan


Nous en savons désormais un peu plus sur l’apocalypse du 16 juin dernier. C’est JFC lui-même qui s’est adressé à nous via la radio de l’Arche afin de nous présenter les éléments dont il dispose à l’heure actuelle.

La fin du monde n’a pas été aussi brutale que nous le pensions puisque c’est finalement un cousin germain de Monseigneur Ebola qui serait le responsable. Certains diront que Jean-Marie Le Pen est un visionnaire, moi je dirais simplement que c’est une belle ordure et que j’attends avec impatience que Madame la faucheuse vienne régler le problème.


Quoiqu’il en soit, Jean-Marie Le Pen s’est lourdement trompé puisque le cousin de Monseigneur Ebola (que les scientifiques ont baptisé le « virus N’Bala ») n’a pas seulement réglé le problème posé par l’immigration en France… il a également réglé le problème posé par l’humanité. Une fois de plus il semblerait que ce virus soit le fruit de relations sexuelles entre animaux et africains… Pour le SIDA déjà, des africains étaient soupçonnés d’avoir eu des rapports sexuels avec des singes. Cette fois-ci ce sont des rapports sexuels avec des singes violeurs de chauves-souris (Les chauves-souris sont des porteuses saines de l’Ebola qui contaminent les singes) qui seraient la cause du virus. L’homme africain est donc finalement entré dans l’Histoire comme étant le responsable de la fin du monde… JFC en tiendra compte si jamais il doit faire un discours à Dakar dans le futur.


Le virus s’est très vite répandu et, contrairement au nuage de Tchernobyl, il n’a eu aucune difficulté à passer les frontières puisqu’il n’y en avait plus (ou si peu) à cause de l’Europe. Le phénomène a de plus été accentué par ces fournées de corps d’africains qui venaient s’échouer sur nos plages. Avec l’aide de Chantal BRUNEL on les remettait sur des bateaux, mais il était déjà trop tard : les vacanciers de juillet qui se trouvaient en méditerranée ont été les premières victimes issues d’une civilisation digne de ce nom. C’est à partir de cet instant que la population mondiale a commencé à s’affoler…


Dès la fin juin l’épidémie était mondiale. D’après les estimations de nos experts de chez Bygmalion, il ne resterait plus que quelques milliers de personnes encore en vie à l’extérieur de l’Arche de Copé. Au-delà des ravages causés par le virus lui-même, les émeutes ont également largement contribué à l’extinction de la race humaine. Si la flore n’a pas été affectée par le virus N’Bala, la faune a été presque entièrement ravagé : les dernières espèces encore vivantes sont les chauves-souris, certains rongeurs et les roms… Bref, cela ne donne pas envie de sortir de l’Arche… D’autant plus que le virus est toujours aussi actif…


A l’heure actuelle il n'existe aucun traitement curatif et l'évolution est fatale dans 90 % des cas. Roselyne BACHELOT, notre spécialiste en épidémiologie, travaille actuellement à la mise au point d’un vaccin à partir des immenses stocks de vaccins contre le H5N1 et de masques qu’elle avait commandé à ses amis des laboratoires. D’après elle, l’utilisation d’une protéine inhibitrice permettrait d’éviter d’avoir une pigmentation noire de la peau. Or sans africain, il n’y aura plus de relations zoophiles avec des singes et par conséquent plus de problème de virus type Ebola. 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire