Les sans-dents vont-ils bientôt guillotiner le roi des pauvres cons ?

Une fois de plus, la cour du roi démontre toute la considération qu’elle a pour le petit peuple… L’affaire «Thomas THEVENOUD » (encore quelqu’un qui a toujours été payé avec les impôts des français et qui connait suffisamment bien le monde de l’entreprise pour lui déclarer sa flamme…) en est encore l’exemple parfait en cette période particulièrement difficile pour les français… A l’UMP nous dénonçons ce comportement digne d’une petite ordure et nous demandons à ce que la sanction soit exemplaire. Nous ne pouvons pas nous permettre d’avoir sur l’Arche de Copé des personnes qui agissent ainsi. Si cela continue nous risquons de revivre les heures les plus sombres de notre histoire : ces pauvres cons de sans-dents pourraient se réveiller et ressortir les guillotines…

Nous sommes en train d’échapper à l’apocalypse, ce n’est certainement pas pour se farcir une révolution au moment de la grande reconstruction de 2017… Tout cela à cause de ces abrutis de gauchiste et de leur monarque absolument ridicule (même au repos, Saint Nicolas n’est jamais descendu si bas (13 centimètres selon le dernier baromètre politique du Figaro) quand il était au pouvoir). JFC doit pouvoir reconstruire notre pays sereinement et ce n’est pas avec ce genre d’affaires que les choses vont s’arranger… Car si nous nous penchons sur la fameuse révolution française, qui a permis de changer le mode de nomination du roi des pauvres cons, on peut retrouver de nombreux points communs avec la situation actuelle :

En 1788 la France est dans un état lamentable et rongée par la crise. En plus de l'état de cessation des paiements et de banqueroute du royaume, la météo est désastreuse : un été pourri ravageant les récoltes et un hiver glacial. Tout comme aujourd’hui le blé manquait et le peuple avait faim. Début 1789, ce sont les sans-dents (à l’époque on parlait de sans-culottes) bretons qui sont les premiers à provoquer des émeutes… la suite nous la connaissons tous…

Quant à Louis XVI, les historiens français l'ont décrit comme « un honnête homme mû par de bonnes intentions, mais qui n'était pas à la hauteur de la tâche herculéenne qu'aurait représenté une profonde réforme de la France »… Cela ne vous rappelle personne ? Si je vous dis également que son prédécesseur, le petit Louis XV, était d’abord surnommé le « bien aimé » et qu’il a terminé sous la dénomination de « bien haï »… Et si j’ajoute que Louis XV était décrit comme « Amical et compréhensif avec ses ministres, du moins en apparence, sa disgrâce tombait soudainement, sans prévenir, sur ceux qu'il estimait l'avoir desservi » ou encore que sa fin de règne fut marquée par l'arrivée dans sa vie de la comtesse du Barry… tout cela vous met toujours pas sur la piste ?   Bref, si la température à l’extérieur de l’Arche descend à -20° cet hiver, plus de doute possible, nous allons revivre la terreur 225 ans après…