Toujours plus loin dans la médiocrité

Décidément je ne comprendrais jamais les gauchistes… Après avoir consciencieusement détruit tout ce que Saint Nicolas avait fait pour la France, ils s’attaquent maintenant à l’école. Il est vrai que c’est une stratégie électorale payante à long terme puisque les cons et les ignorants forment l’essentiel des rangs de ces abrutis d’électeurs. Mais je pense qu’il y a déjà suffisamment de cons à se partager pour éviter d’avoir à en former de nouveaux.

Alors quand je vois Najat VALLAUD-BELKACEM détruire le remarquable système éducatif que nous avons mis en place et qui a permis de voir émerger des KOUACHI et autres MERAH, des MORILLO, des Marion MARECHAL LE PEN (la racaille xénophobe qui a grandi avec une œillère en or) et d’autres intégristes communautaristes, j’ai peur pour l’avenir de la France. Notre système éducatif fonctionne parfaitement bien, la majorité des enfants qui le fréquentent en ressortent grandis (sauf quelques rares exceptions mais qui parviennent tout de même à finir Président de la République et des républicains) : grâce à l’éducation nationale nous avons fait de ces simples enfants de remarquables esclaves consommateurs.

L’école est essentiellement faite pour mouler et démouler. Il est vrai que parfois le démoulage n’est pas des plus propres et que le résultat obtenu n’est pas exactement à la hauteur de nos espérances. Mais globalement le système fonctionne plutôt bien et je ne vois pas l’intérêt de le changer. Je pense qu’il est criminel et irresponsable de faire croire à des Mohamed qu’ils pourront un jour avoir un poste à responsabilité ou à une femme qu’elle aura un jour la possibilité d’être payée et considérée comme un homme. Au nom de l’égalitarisme, la gauche a construit l’école de l’injustice qui est devenue l’otage de quelques idéologues autoproclamés experts en pédagogisme. En tant que républicains nous ne sommes pas d’accord et nous ne pouvons accepter cette réforme qui, au moment où l’économie semble aller mieux, est un sujet idéal pour attaquer et condamner la médiocrité de la politique menée par les gauchistes.

En effet, comme l’a très bien démontré Saint Nicolas, « dans le combat effréné pour la médiocrité, Christiane TAUBIRA est en passe d'être dépassée par Najat VALLAUD-BELKACEM ». Et croyez-moi, il s’y connait en médiocrité Saint Nicolas ! Et je ne parle pas seulement de ses femmes, de ses enfants, de ses collaborateurs et de ses électeurs... Je vous invite à relire le magnifique roman 1793 (ou 93, c’est comme pour Pygmalion ou Bygmalion, je ne sais plus exactement)…

Je reviens sur cette médiocre polémique orchestrée par les gauchistes afin de rabaisser Saint Nicolas : c’est une simple faute de frappe. Saint Nicolas connait parfaitement bien l’œuvre d’HUGO BOSS et il ne voulait pas donner le nom du roman mais évidemment situer l’époque à laquelle l’intrigue se déroule. Sans la faute de frappe, il fallait lire :

Accuser ainsi Saint Nicolas de médiocrité pour une simple inversion d’un point et d’une virgule, c’est un petit peu exagéré. Encore une polémique uniquement destinée à faire diversion… C’est tellement lamentable ! Franchement je serais d’avis que l’on se débarrasse de Najat VALLAUD-BELKACEM à la manière nord-coréenne. Étant donné qu’elle est Ministre de l’éducation et non de la défense, je suggère qu’elle soit exécutée non pas au canon aérien, mais plutôt par largage aérien d’enseignants syndicalistes. Cela nous permettrait en plus de faire d’une pierre deux coups. 

Tout comme Saint Nicolas, je suis sidéré par la médiocrité offerte chaque jour par le gouvernement provisoire de l’Arche… et encore, moi je n’ai pas eu à subir la tournée de ma femme ou les tweets imbéciles de mon fils... HOLLANDE disait vouloir réenchanter le rêve français, mais c’est le cauchemar français qu’il a  enchanté. Nous devons absolument nous mobiliser pour préparer la grande reconstruction de 2017. Pour cela, pas de miracle, nous devons nous rassembler derrière Saint Nicolas et devenir un véritable centipède républicain. Ce qui nous rassemble, c'est l'idée que nous nous faisons de la République. Qu’elle soit bonne ou mauvaise, peut-importe, c’est notre idée et nous la défendrons jusqu’à ce que les français nous élisent à nouveau.