lundi 13 octobre 2014

Conseil à Zemmour : la polémique c’est comme la sodomie, Petain coup, ça ira mieux.


Aujourd’hui je voudrais vous parler de Zemmour, vous redire des choses tendres sur son beau discours que mon cœur n’est pas las d’entendre. Depuis quelques semaines, c’est la saison des Zemmour et l’on voit de nombreux essayistes parader en déployant leur argumentaire réactionnaire. Ce type d’argumentaire séduit de plus en plus de français mais pour moi on ne badine pas avec Zemmour et il n’y a que lui qui soit légitime dans cet exercice. Quand je vois avec quelle fougue il répond à ceux qui veulent se faire sa pomme en prétextant qu’il est aveugle, je me dis que je pourrais vivre de Zemmour et d’eau fraiche jusqu’à la fin de ma vie.

Je suis fou de Zemmour et j’assume : là où certains voient de la provocation, je ne vois que le constat d’une bien triste réalité. Tout comme Zemmour j’ai longtemps eu peur concernant l’avenir de la France. Mais ça, c’était avant JFC. Depuis je suis plus serein même si cela ne m’empêche pas de m’abandonner à Zemmour de temps à autre. Comment ne pas être admiratif devant un juif qui défend le gouvernement de Vichy ? Certes, être intellectuellement capable de suivre son raisonnement n’est pas donné à tout le monde, mais si vous essayez vraiment de filer le parfait Zemmour, vous verrez qu’il a raison sur de nombreux points.


S’éveiller à Zemmour demande avant tout de se mettre à sa hauteur. Vous comprendrez dès lors en quoi ses phobies de nain ont des conséquences directes sur sa pensée. Vivre constamment dans la peur de se faire frapper ou marcher dessus n’est pas chose facile… sans compter le regard des femmes… Quand il est apeuré, Zemmour bascule dans le réactionnaire sans la moindre réflexion : il cherche simplement à communiquer sa peur afin de la diminuer. Ce besoin de partager sa peur est viscéral et Zemmour ne peut jamais attendre très longtemps avant de nous la communiquer. Comme le dit l’expression, Zemmour qui languit, s‘éteint.


Que voulez-vous, il est comme ça le Zemmour : il ne se commande pas. Je me souviens encore de mon premier Zemmour… C’était en 2006, j’étais si nerveux que j’ai perdu tous mes moyens et que je me suis contracté directement. Résultat : j’ai bien failli devenir homosexuel. Si je devais relire « le Premier Sexe » aujourd’hui, j’aurais beaucoup moins de difficulté dans la mesure où j’ai compris qu’il ne faut pas attendre autre chose d’une femme que de recevoir du fluide vital. Zemmour a raison, parler à une femme est une perte de temps et peut se révéler être extrêmement dangereux : si François s’était contenté de lui mettre sa bite dans la bouche, Valérie n’aurait jamais pu parler des sans-dents par la suite. De plus faire le Zemmour procure une réelle jouissance et cela même si l’on est seul : c’est un peu comme la masturbation. Depuis mon émasculation je ne fais que ça et je prends énormément de plaisir, que ce soit en mer (pour une question de tempo...) ou pas.


Je vous souhaite donc à tous de pouvoir un jour rencontrer le grand Zemmour, mais attendre Zemmour peut parfois durer très longtemps et il faut savoir forcer le destin. Aussi, je vous invite à aller à sa rencontre sans plus attendre. Faire quelque chose avec Zemmour donne en général de bons résultats même s’il peut parfois être vache ou se trouver dans le pré. Si j’avais un conseil à donner à Zemmour, je lui dirais de se détende un peu : à force d’allumer des feux un peu partout (le premier c’était le 16 aout 1989 sur TF1), il va finir par ne plus être crédible (à ce rythme-là, même par les adorateurs du Maréchal finiront par ne plus le soutenir). De plus sa dernière thèse sur la différence de traitement entre le juif français et le juif étranger est déjà remise en cause par plusieurs spécialistes de la question : Jean-Marie LE PEN aurait par exemple expliqué que la seule différence est le temps de cuisson, mais ce n’est qu
un point de détail.

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