lundi 6 octobre 2014

Saint Nicolas coupable à son insu ?

Désormais dans l’affaire Bygmalion on parle de « financement illégal de campagne électorale » et plus seulement d’« abus de confiance ». Or selon le code électoral, c’est le candidat lui-même qui serait puni s’il est avéré qu’il a « fait état, dans le compte de campagne ou dans ses annexes, d’éléments comptables sciemment minorés ».

Ce qui signifie que si l’affaire va jusqu’au bout, quel que soit le rôle de Saint Nicolas, il devra payer en tant que chef… Ces bâtards de juge ont déjà mis en examen l’œil de Saint Nicolas en la personne d’Eric CESARI et le reste du corps ne devrait pas tarder à suivre… A moins que JFC n’accomplisse un nouveau miracle… Le comportement de Saint Nicolas me fait penser à celui d’un autre grand révolutionnaire qui a quitté le confort pour repartir au combat et finalement mourir en Bolivie. Quand une institutrice lui a demandé : « Pourquoi avec votre physique, votre intelligence, votre famille et vos responsabilités vous êtes-vous mis dans une situation pareille ? » il avait répondu « Pour mes idéaux. ».


C’est beau d’avoir des idéaux... Comme disait Zavata, « Mieux vaut rire que de vivre à genoux ». Je conseille donc à Saint Nicolas d’aller jusqu’au bout de sa démarche et de ne pas se soucier de déclarations comme celle de Bastien MILLOT («Certains responsables, non des moindres, de la campagne présidentielle de 2012, essaient de se draper dans la posture d’une victime, alors même qu’ils le font sans doute un peu grossièrement et rapidement») ou du SMS envoyé à Guillaume LAMBERT en avril 2012 («Jean-François ne vient pas à Clermont, il y est allé la semaine dernière. Louer et équiper la deuxième halle est une question de coût. Nous n’avons plus d’argent. JFC en a parlé au PR». (PR pour Président de la République…)).



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire