mercredi 3 octobre 2012

Au nom du père


Saint Jean a finalement reçu JFC au Winston le 4 septembre dernier. Cela faisait longtemps que nous attendions cette rencontre avec le 7ième vice-président de l’assemblée départementale des Hauts-de-Seine. Sans la bénédiction de cette figure incontournable de la vie politique française, il sera désormais très difficile pour François Fillon de l’emporter.

Saint Jean, qui sait mieux que personne ce que signifie courage et travail, a loué les nombreuses qualités du chevalier Copé dont le comportement a été « absolument exemplaire » là où certains avaient eu parfois « la main qui tremble ». Il a ainsi rappelé le point culminant de la carrière politique de JFC en rendant hommage à cette réforme qui a positivement bouleversé le quotidien des français : « Les militants vous connaissent bien, vous connaissez bien les militants. (...) Vous avez été l'homme interdisant la burqa (…) l'une des grandes victoires de notre histoire parlementaire  malgré les réticences jusque dans votre propre camp ».

Saint Jean a également lancé à JFC « Vous n'avez pas tremblé ! » tout en louant son « courage », sa « solidité » et sa « franchise ». JFC a profité de l’occasion pour rappeler qui est le véritable héritier du sarkozysme en déclarant : « J'en entends d'autres qui disent 'nous aussi on est sarkozystes’, alors qu'ils ont parfois été aux abonnés absents pendant la campagne ». Les sarkozystes, les vrais, étaient présents au Winston : De Balkany à Pasqua, il ne manquait personne de la vraie droite, la droite bonapartiste au courage sans limite. JFC a magnifiquement conclu cette soirée inoubliable en déclarant : « La définition de l'homme d'Etat appartient plus aux historiens qu'aux commentateurs. Soyons modestes, nous ne sommes que des hommes politiques ».

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